voix de saint sadrill trouble (saint thibault des vignes)

Exposition "Système D-[DAY]. Quand les paysans normands réutilisent le matériel militaire de la seconde guerre mondiale"

Histoire - Civilisation

Sainte-Mère-Église 50480

Du 19/10/2025 au 02/11/2025

Au-delà du célèbre 6 juin 1944, de l’opération militaire du Débarquement et des parachutages qui ont fait la réputation de Sainte-Mère-Eglise, la ferme-musée du Cotentin souhaite questionner le quotidien des civils dans cette guerre et la période de la Reconstruction qui a suivi. Après 6 années de privations, pénuries et rationnement de la Seconde Guerre mondiale, les civils font preuve de beaucoup d’ingéniosité pour réutiliser le matériel de guerre, tant avant qu’après le Débarquement allié. L’apport important de matières premières issues du Débarquement leur a permis de transformer et réutiliser ce matériel dans les fermes ou dans la vie quotidienne. Ainsi un casque devient mesure à grain, un étui de masque à gaz devient pot à lait, un parachute devient un chemisier… Que nous racontent ces objets, témoins d’une période trouble et douloureuse pour les Normands, qui ont payé un lourd tribut pour la Liberté ? Fermé le samedi.

Exposition "Système D-[DAY]. Quand les paysans normands réutilisent le matériel militaire de la seconde guerre mondiale"

Histoire - Civilisation

Sainte-Mère-Église 50480

Du 01/09/2025 au 30/09/2025

Au-delà du célèbre 6 juin 1944, de l’opération militaire du Débarquement et des parachutages qui ont fait la réputation de Sainte-Mère-Eglise, la ferme-musée du Cotentin souhaite questionner le quotidien des civils dans cette guerre et la période de la Reconstruction qui a suivi. Après 6 années de privations, pénuries et rationnement de la Seconde Guerre mondiale, les civils font preuve de beaucoup d’ingéniosité pour réutiliser le matériel de guerre, tant avant qu’après le Débarquement allié. L’apport important de matières premières issues du Débarquement leur a permis de transformer et réutiliser ce matériel dans les fermes ou dans la vie quotidienne. Ainsi un casque devient mesure à grain, un étui de masque à gaz devient pot à lait, un parachute devient un chemisier… Que nous racontent ces objets, témoins d’une période trouble et douloureuse pour les Normands, qui ont payé un lourd tribut pour la Liberté ? Fermé le samedi.

Exposition - Collecter, Terres de Puisaye et d’ailleurs

Saint-Amand-en-Puisaye 58310

Du 24/05/2025 au 31/10/2025

Exposition temporaire qui tend un pont entre la tradition séculaire du grès à Saint-Amand et les préoccupations écologiques de notre époque. Fabriquer des pots : voilà le métier du potier. Au cours de l’été 1943, deux jeunes ethnographes, Pierre Soulier et Pierre Séguy, se rendent à Saint-Amand-en-Puisaye et ses environs, entre Nièvre et Yonne, pour y conduire une enquête-collecte sur le monde et la culture des potiers de la Puisaye. Cette étude est commandée par l'ethno-muséographe Georges Henri-Rivière (1897-1985) pour le compte du Musée national des arts et traditions populaires (MNATP). Formes, terres utilisées, nombre de potiers : les traditions séculaires amandinoises sont précieusement consignées au cours de cette période trouble de l’histoire. Comme un pont tendu entre deux époques, entre préservation des savoir-faire et préoccupations écologiques, nombre de potiers s'interrogent sur la terre, dans l'urgence de préserver les ressources et tentent de trouver des solutions. L'une d'elle est la « terre de rencontre ». Collecter une terre naturelle, sauvage, la travailler, lui donner une forme, la cuire. Expérimenter, rater, réussir et consigner, puis recommencer. Sur[...]

Exposition - Collecter, Terres de Puisaye et d’ailleurs

Patrimoine - Culture

Saint-Amand-en-Puisaye 58310

Du 24/05/2025 au 31/10/2025

Exposition temporaire qui tend un pont entre la tradition séculaire du grès à Saint-Amand et les préoccupations écologiques de notre époque. Fabriquer des pots : voilà le métier du potier. Au cours de l’été 1943, deux jeunes ethnographes, Pierre Soulier et Pierre Séguy, se rendent à Saint-Amand-en-Puisaye et ses environs, entre Nièvre et Yonne, pour y conduire une enquête-collecte sur le monde et la culture des potiers de la Puisaye. Cette étude est commandée par l'ethno-muséographe Georges Henri-Rivière (1897-1985) pour le compte du Musée national des arts et traditions populaires (MNATP). Formes, terres utilisées, nombre de potiers : les traditions séculaires amandinoises sont précieusement consignées au cours de cette période trouble de l’histoire. Comme un pont tendu entre deux époques, entre préservation des savoir-faire et préoccupations écologiques, nombre de potiers s'interrogent sur la terre, dans l'urgence de préserver les ressources et tentent de trouver des solutions. L'une d'elle est la « terre de rencontre ». Collecter une terre naturelle, sauvage, la travailler, lui donner une forme, la cuire. Expérimenter, rater, réussir et consigner, puis recommencer. Sur[...]

Exposition temporaire - Collecter, terres de Puisaye et d'ailleurs

Exposition, Conférence - Débat, Patrimoine - Culture

Saint-Amand-en-Puisaye 58310

Du 24/05/2025 au 31/10/2025

Fabriquer des pots : voilà le métier du potier. Au cours de l’été 1943, deux jeunes ethnographes, Pierre Soulier et Pierre Séguy, se rendent à Saint-Amand-en-Puisaye et ses environs, entre Nièvre et Yonne, pour y conduire une enquête collecte sur le monde et la culture des potiers de la Puisaye. Cette étude est commandée par l'ethno-muséographe Georges Henri-Rivière (1897-1985) pour le compte du Musée national des arts et traditions populaires (MNATP). Formes, terres utilisées, nombre de potiers: les traditions séculaires amandinoises sont précieusement consignées au cours de cette période trouble de l’histoire. Comme un pont tendu entre deux époques, entre préservation des savoir-faire et préoccupations écologiques, nombre de potiers s'interrogent sur la terre, dans l'urgence de préserver les ressources et tentent de trouver des solutions. L'une d'elle est la "terre de rencontre". Collecter une terre naturelle, sauvage, la travailler, lui donner une forme, la cuire. Expérimenter, rater, réussir et consigner, puis recommencer. Sur tout le territoire, des potiers se lancent dans l'aventure et c’est ce travail qui est donné à voir en regard de l’enquête-collecte de 1943,[...]

Exposition temporaire - Collecter, terres de Puisaye et d'ailleurs

Saint-Amand-en-Puisaye 58310

Du 24/05/2025 au 31/10/2025

Fabriquer des pots : voilà le métier du potier. Au cours de l’été 1943, deux jeunes ethnographes, Pierre Soulier et Pierre Séguy, se rendent à Saint-Amand-en-Puisaye et ses environs, entre Nièvre et Yonne, pour y conduire une enquête collecte sur le monde et la culture des potiers de la Puisaye. Cette étude est commandée par l'ethno-muséographe Georges Henri-Rivière (1897-1985) pour le compte du Musée national des arts et traditions populaires (MNATP). Formes, terres utilisées, nombre de potiers: les traditions séculaires amandinoises sont précieusement consignées au cours de cette période trouble de l’histoire. Comme un pont tendu entre deux époques, entre préservation des savoir-faire et préoccupations écologiques, nombre de potiers s'interrogent sur la terre, dans l'urgence de préserver les ressources et tentent de trouver des solutions. L'une d'elle est la "terre de rencontre". Collecter une terre naturelle, sauvage, la travailler, lui donner une forme, la cuire. Expérimenter, rater, réussir et consigner, puis recommencer. Sur tout le territoire, des potiers se lancent dans l'aventure et c’est ce travail qui est donné à voir en regard de l’enquête-collecte de 1943,[...]